Abidjan, 15 oct 2025 (AIP) – Le candidat Jean-Louis Billon décide de faire de la réconciliation nationale et du développement équitable, les piliers de son projet de gouvernance, appelant à une « Côte d’Ivoire unie et prospère pour tous ».
« Plus de 60 % de la population vit dans la pauvreté au Nord, contre moins de 20 % à Abidjan », relève-t-il dans son message à la nation. Ce déséquilibre territorial, a-t-il affirmé, menace l’unité nationale et freine le développement global du pays. « Je refuse que la Côte d’Ivoire avance à deux vitesses », a-t-il déclaré, en promettant de « combattre les injustices sociales et économiques qui fragilisent la cohésion nationale ».
Pour y remédier, le candidat propose un processus fort de réconciliation nationale, axé sur le retour des exilés et la libération des prisonniers politiques, afin de restaurer la confiance entre les citoyens et les institutions. « Aucune nation ne peut durablement prospérer dans la division. L’unité nationale doit être le socle de notre développement », a-t-il insisté.
Dans son programme, il met également l’accent sur la justice économique et territoriale, prônant une prospérité partagée fondée sur l’équité et la solidarité. Il propose de soutenir activement les petites et moyennes entreprises (PME), considérées comme les véritables moteurs d’emploi et d’innovation, et de garantir une répartition équitable des fruits de la croissance pour lutter contre la cherté de la vie et améliorer le quotidien des populations.
Le candidat du Congrès démocratique (CODE) souhaite instaurer un développement territorial équilibré, en dotant chaque collectivité des ressources et de l’autonomie nécessaires pour répondre aux besoins de ses habitants, afin que les opportunités économiques et sociales ne soient plus concentrées uniquement à Abidjan.
Affichant sa volonté de bâtir une souveraineté économique nationale, il ambitionne de construire un capitalisme ivoirien solide, centré sur la création de valeur locale et la participation active des citoyens à la richesse nationale.
« Notre avenir commun exige que la prospérité ne soit pas réservée à une région ou à une élite. L’unité nationale est la condition du progrès, de la justice sociale et d’une prospérité partagée », a ajouté le candidat, appelant les Ivoiriens à « faire le choix de l’unité pour construire une Côte d’Ivoire forte, apaisée et tournée vers l’avenir ».
Ma conviction est claire : l’unité nationale est la condition sine qua non du progrès, de la justice sociale et d’une prospérité partagée. Ensemble, faisons le choix de l’unité pour construire une Côte d’Ivoire forte, apaisée et résolument tournée vers l’avenir, conclu -t-il.
(AIP)
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