Abidjan, 10 oct 2025 (AIP) – Le Lions club Abidjan Strelitzia, présidé par Dr Kouamé Désiré, enseignant-chercheur à l’Université Félix Houphouët-Boigny, mène une série d’activités du 4 au 12 octobre 2025 dans le cadre d’une campagne dédiée à la promotion de la santé mentale.
Cette initiative s’inscrit dans le thème de service annuel défini au niveau international par l’organisation humanitaire. Intervenant à l’occasion de la journée anniversaire du Lions club, mercredi 8 octobre, Dr Kouamé a expliqué que cette focalisation sur la santé mentale répond au mot d’ordre de l’association. « Là où il y a un besoin, il y a un Lion. »
Il a salué la collaboration « incommensurable » du Programme national de santé mentale (PNSM), partenaire de ces actions destinées à démontrer l’engagement des Lions face à ces enjeux.
Pour structurer son action, le district 403 A2 du Lions club, qui chapeaute 75 clubs en Côte d’Ivoire et dans trois autres pays sous l’autorité du Gouverneur Michel Boua a développé un concept spécifique le S-I-M visant à sensibiliser, informer et mobiliser.
Plusieurs activités significatives ont déjà été réalisées notamment, une conférence de presse le 4 octobre pour lancer officiellement la campagne, une session de formation, le 5 octobre, en partenariat avec la coordonnatrice de l’Hôpital psychiatrique de Bingerville, à l’intention d’une vingtaine de professionnels de santé du district sanitaire de Yamoussoukro.
La Journée mondiale de lutte contre la toxicomanie a également été marquée à l’Hôpital psychiatrique de Bingerville par une formation sur les addictions et une mobilisation avec des dons aux centres de santé spécialisés.
Des actions parallèles ont lieu, comme celle d’un club qui a offert une bibliothèque au centre d’oncologie pédiatrique, mercredi 8 octobre, rappelant que le cancer infantile reste l’une des causes prioritaires du Lions club.
Dr Kouamé Désiré a réaffirmé la détermination des Lions à poursuivre ces efforts de sensibilisation, d’information et de mobilisation jusqu’au 12 octobre, contribuant ainsi à briser les tabous et à soutenir les acteurs de la santé mentale en Côte d’Ivoire.
(AIP)
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