Yamoussoukro, 18 fév 2024 (AIP) – Plusieurs guides de différentes confessions religieuses ont organisé une journée de prières œcuméniques samedi 17 février 2024 dans la cour de la préfecture de Yamoussoukro en reconnaissance à DIEU pour avoir permis à la Côte d’Ivoire d’organiser « la plus belle CAN de l’histoire » et de la remporter.
« Au milieu de nos adversaires, une vingtaine, nous sommes sortis victorieux. Nous étions au bas de l’échelle et tu nous a mis sur le piédestal, comment ne pas retourner te dire merci et te rendre la gloire», a déclaré le président du collectif des pasteurs de Yamoussoukro, Révérend Koffi Julien.
« C’est la voix de la Côte d’Ivoire qui s’élève en ce lieu, la voix du président de la République, la voix du gouvernement et de toutes les autorités, la voix des Ivoiriens et des Ivoiriennes pour te rendre gloire, te dire merci pour tout ce que tu as fait pour nous », a-t-il poursuivi.
L’homme de Dieu a affirmé que la principale leçon de cette victoire à la CAN est que « Dieu existe ». Il a demandé à l’Eternel que ces instants de bonheur, de joie, d’allégresse, de paix, d’unité et de cohésion, voulus par le peuple perdure pour toujours en Côte d’Ivoire.
Pour le préfet de Yamoussoukro, Coulibaly Gando, à la fin de la compétition et au vu du parcours des Eléphants de Côte d’Ivoire, « tout le monde est d’accord que la main de Dieu a agi ».
M. Coulibaly a rappelé que dès les premiers instants de l’aventure CAN 2023, les autorités ivoiriennes ont toujours confié leurs actions à Dieu.
Des prières intenses ont été dites sur l’ensemble du territoire national pour réussir l’organisation de la CAN de l’hospitalité, la meilleure compétition jamais organisée et aussi remportée la victoire finale.
« Aux dires de tous les observateurs, même les plus sceptiques au départ, le pari d’organiser la meilleure CAN a été réussi, le défi important a été relevé de belle manière. Nous n’avions que 1% de chance de remporter la coupe et DIEU a agi. Quand Dieu a fait tout cela pour la Côte d’Ivoire, la moindre des choses c’est de lui dire merci », a-t-il précisé.
(AIP)
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