Guiglo, 16 fév 2025 (AIP)-Le député de Guiglo-Commune, Emile Guiriéoulou, a décrypté, lors d’une rencontre sportive dans le village de Zouan vendredi 14 février 2025, l’Abidjanaise, l’hymne national de Côte d’Ivoire, en mettant en avant trois moments clés souvent négligés par les Ivoiriens lorsqu’ils le chantent.
“En analysant l’hymne national de la Côte d’Ivoire, j’ai identifié trois moments significatifs. Le premier moment résonne avec ‘salut ô terre d’espérance’. En effet, la Côte d’Ivoire est une terre porteuse d’espoir. Les termes ont été choisis avec soin, on n’a pas dit pays d’espérance, mais terre d’espérance. En tant qu’Ivoiriens, et plus particulièrement en tant que membres du canton Zaké-Blao, nous sommes sur une terre d’espoir et nous devons la traiter avec respect”, a expliqué M. Guiriéoulou.
Il a encouragé les habitants du Zaké-Blao à rendre hommage à la terre, car c’est d’elle qu’ils proviennent et c’est vers elle qu’ils retourneront. Emile Guiriéoulou a affirmé que cette terre est la première et dernière demeure à respecter et à honorer, tout en insistant sur l’aspect sacré de la terre.
Le député Guiriéoulou a ensuite abordé l’expression ‘chère Côte d’Ivoire’ comme le deuxième moment fort de l’hymne national, soulignant cela évoque que le pays est connu pour son hospitalité que ses fils et filles, animés de courage, ont su redorer son blason. Il a souligné que les légions remplies de vaillance ont relevé la dignité de la nation. La Côte d’Ivoire est un pays hospitalier et accueillant, mais c’est aussi une patrie que ses armées nombreuses et dynamiques doivent défendre.
Evoquer le troisième temps fort de l’Abidjanaise, à savoir “tes fils rassemblés pour ta gloire te bâtiront dans le bonheur”, le parlementaire insisté sur le fait que les fils et filles de la Côte d’Ivoire doivent se rassembler pour bâtir la nation dans le bonheur et la dignité.
Pour Guiriéoulou, il appartient aux fils et filles de relever de façon fière la dignité du Zaké-Blao et de la Côte d’Ivoire. Toute chose que les uns et les autres ne doivent jamais oublier, car s’ils faillissent à cette exigence, ils ne sont pas dignes d’être de ce canton et de la Côte d’Ivoire.
(AIP)
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