Abidjan, 13 mars 2024 (AIP) – La pétition pour la candidature du chef de l’Etat, Alassane Ouattara, à l’élection présidentielle 2025 fait la Une des journaux, mercredi 13 mars 2024.
« Une pétition lancée pour recueillir 4 millions de signatures », titre L’Avenir notant qu’elle vise à soutenir la candidature de M. Ouattara à la prochaine élection.
La Une du quotidien proche du parti au pouvoir RHDP, annonce : « Kolia Célestin engage la candidature d’ADO à travers une pétition », en soulignant également que d’autres leaders politiques s’engagent, tels que » Serge Sanogo et ULC ADO sur le terrain ».
« Le peuple réclame Ouattara ! » affiche à sa Une, le quotidien, L’Essor Ivoirien ajoutant en sous-titre « Un bilan inattaquable qui séduit ! ».
Cependant, dans le journal de l’opposition, La Voie originale, en évoquant la candidature annoncée du président du parti des peuples africains de Côte d’Ivoire (PPA-CI), Laurent Gbagbo, on lit : » Cette réponse nous libelle et nous met en ordre de bataille », mettant ainsi en avant les propos de la secrétaire générale adjointe du PPA-CI, Séry Sarah Soko, suite à l’annonce faite par le président de briguer la magistrature suprême en 2025.
En réponse à cette annonce de candidature de l’ex -président Laurent Gbagbo, le quotidien proche du pouvoir, Le Patriote s’interroge sur la nécessité de cette candidature et met « Les ivoiriens ont -il besoin de Gbagbo au palais ? ».
D’autres sujets d’actualité ont fait la Une des journaux notamment le quotidien pro-gouvernemental, Fraternité Matin qui barre à a son tabloïde, « Eaux usées et déchets les vrais cause », pour expliquer les raisons de la mort massif de poisson au niveau de la baie du quartier Biétry à Abidjan.
Le journal, le Jour Plus annonce les dons à la communauté Chrétienne et musulmane lors du carême et barre à sa Une « Koné Lagarton solidaire des communauté Chrétienne et musulmane ».
« Les producteurs ont déposé un préavis de grève illimitée », annonce le journal, Le Sursaut, abordant ainsi la grève des producteurs de café et de cacao. Les raisons sont explicitées en sous-titre par les propos de Koné Moussa : « Cette grève constitue la réponse au mépris des gestionnaires de la filière. »
(AIP)
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